Vendredi 13 novembre 5 13 /11 /Nov 19:58
ATTENTION CECI EST UNE HISTOIRE QUE J'AI ECRITE MOI MEME JE SERAI DONC TRES CONTRARIE DE LA VOIR SUR UN AUTRE BLOG SANS ETRE CITE MERCI! D'AILLEURS IL S'AGIT D'UNE DES PREMIERES HISTOIRES EROTIQUES QUE J'AI ECRITE

Encore une fois je sors du boulot crevé, ce nouveau boulot de banquier m’ennui, je vois défiler des clients désagréables toutes la journée, je vois des hommes d’affaires pensant qu’à l’argent, ils se foutent royalement des personnes qui travaillent, leur seul soucis est de savoir comment faire pour gagner cent fois plus que la veille, ou comment dépenser l’argent de la veille en en gagnant le double. Parfois c’est drôle on voit les vieilles mémères qui ne connaissent rien à la gestion, mais qui s’auto approprie des mots qui dans leur bouche et dans leur phrase ne veulent rien dire. Mme DE LA TARDIERE m’a interpellé me disant :

-comprenez mr MUSIN, vu le dumping social en ce moment je crains une forte chute boursière, et mon mari pourrait perdre quelques milliers d’euros, nous nous verrions obligé et serions désolé de retirer notre compte de votre banque pour aller chez un concurrent.

Quelques milliers d’euros, pour quelqu’un qui les regagne en à peine une journée…et encore que dis-je parfois même en quelques heures seulement…mais elle ajouta : « et je me verrai forte contrainte de divorcer si bien sur il arrivait qu’il soit ruiner, cela me briserai le cœur »

Encore une connasse qui ne pensait qu’à l’argent…un cœur elle ? non je dirai plutôt un trou d’argent. Elle ne comprenait rien à ce que l’on faisait mais elle se permettait de juger, et nous comme si de rien était juste à cause du gros compte en banque de son mari on devait se la fermer et lui répondre avec le sourire : « mais madame ne faite pas d’erreur, ce que nous vous proposons serait une solution plus adapté a vos besoin aller voir Jean-Charles notre spécialiste boursier, il vous conseillera sur les meilleures affaires du moment »

Dans la réalité, mon seul souhait est de lui dire : mais CASSE TOI CONNASSE !!!!!! DEGAGE DE MON BUREAU SALE BOURGEOISE !!!!!JE VEUX QUE TU ME FOUTES LA PAIX ET ETOUFFE TOI AVEC TON FRIC !!!!!

 

Enfin bon je serai viré, et trouver du boulot n’est pas simple, alors en tant que célibataire, je rentre chez moi ruiné et épuisé, je me mets sur l’ordinateur, et avec surprise je constate que j’ai un mail…de toute façon ca ne peut être qu’une pub ou un spam, puis je vois le nom cécilia.place@banque_du_credit.fr c’est une cliente de la banque, une bourgeoise encore…qui avait ouvert un compte chez nous y’a pas très longtemps, je ne sais pas comment elle à eu mon mail mais elle disait avoir quelque chose de très important à me dire, un découvert…pour une femme riche ca me surprend, mais bon on verra ca demain, pour l’instant film, branlette sur internet, et au dodo comme à l’habitude. La nuit est spéciale, je vois comme une ombre dans mon rêve qui me suit, une sorte de parfum qui me titille les narines, une voix sensuelle et chaude qui grésille dans mes oreilles, une voix qui est comme un soleil, qui jouit. Je ne sait pas pourquoi mais j’aime ca, peut être trop de sexe visionné sur le net. Ensuite cette ombre vient devant mon pantalon, je sens comme un souffle chaud sur mon sexe qui commence à se dresser, j’ai des frissons, puis un bruit, qui est chiant agaçant, qui me fais mal aux oreilles, et je me réveille…c’était cette saloperie de réveil matin.

 

Mercredi 28novembre

 

En prenant ma douche j’étais obsédé par cette nuit, qu’est-ce que ce rêve voulait dire comment pouvait-il me tourmenter à ce point, ca y est je sais, je me retourne brutalement, et je ne vis rien…pourtant je sens que quelque chose me suit, comme une ombre justement, mise a part la mienne (j’entends déjà les esprits fort). Mes yeux croisent soudain la pendule, et merde !!!!!! Il est déjà 9h du mat, je vais encore me faire engueuler par ce putain de patron, vite je cours.

 

Arrivé au métro je m’assois, une vielle s’assoit devant en s’excusant parce qu’elle boitait, et un skinhead à coté, très calme. Je commence à m’endormir, bizarrement malgré le stress, je suis détendu, cette nuit à été une sorte de libération je ne sais pas pourquoi, et d’un coup cette ombre réapparait, pas directement, je sens comme un souffle dans mon cou, et quelqu’un qui me dis d’une voix sulfureuse : « chéri !!! » je me retourne, ce n’était qu’un bébé qui me soufflait dessus en essayant de baragouiner quelque chose que je ne comprenais pas.

Je me redétend quand d’un coup mon pénis se dressa, j’eu une sacrée honte mais heureusement personne ne le remarqua, mais un souffle cette fois ci était dans mon caleçon, horreur c’était trop bon !!! je ne me sentais plus, je me tenais à mon siège, et la une sensation bizarre se fit sentir, comme une langue me léchant, je n’en pouvais plus, j’étais en sueur, le skinhead s’approcha de moi et me demanda : « tout va bien monsieur ? » je fis oui de la tête en me relevant me penchant un peu en arrière pour cacher mon érection, fila droit devant la porte du métro, puis m’en alla d’un coup, c’était mon arrêt de toute façon. Je marche un peu histoire de faire descendre tout ca. Il est 9h45, je sens que je vais bien me faire engueuler.

 

Le patron me vit arriver de loin, il s’approcha de moi presque en accourant et me dis :

 

-alors la grâce mat’ ca fait du bien ?!

-monsieur le directeur je…

-taisez vous, me dit il en me coupant la parole, vous êtes en retard et c’est tout ce qui visible, et c’est inacceptable dans un établissement tel que le notre.

-je le sais et veuillez m’excusez, lui dis-je en m’écrasant un peu, la vérité c’est que j’avais plutôt envie de lui dire que ce n’était qu’un petit fils à papa qui ne savais pas gérer son compte et qu’heureusement son père avait fondé cette banque sinon il n’aurait eu aucun avenir, mais comme d’habitude dans cette société faut s’écraser.

-allez au boulot madame place vous attend je vous signale

 

Merde j’avais oublié celle là, bon j’y vais

 

-qu’est-ce que vous regardez comme ça ??? je vous plais ???

-pas le moins du monde m’entendais je penser mais je me contentai de lui répliquer, j’y vais monsieur le directeur.

 

Arrivant en faisant des courbette à cette jeune femme, et m’excusant poliment elle m’accorda son respect puis nous pouvions commencer parler affaire. C’était une sublime blonde aux yeux bleu-vert, une bouche pulpeuse, des lèvres qui s’apparentais douce et sibyllines, un regard qui vous foudroie, qui vous ferai fondre une telle beauté à t-elle le droit d’exister ??? son corps était tout aussi splendide, des seins bien rond et qui ressortais bien de son décolté, une belle jupe qui laissait entrevoir ses jambes prise dans des bas nylon et qui finissait dans des escarpins laissant entrevoir ses pieds d’une beauté jamais égalée, un sourire d’ange, des cheveux longs qui lui arrivait jusqu’au fesses…bref parlons affaire avec cette belle demoiselle.

 

Je commençais à lui présenter quelques avantages de la banque, visiblement rien ne la satisfaisait, elle semblait regarder autre chose, tantôt dehors tantôt elle me provoquait du regard mordillant ses lèvres, mais je ne me laissais pas déconcentrer comme ca, en lui présentant son compte chèque, je lui dis qu’elle n’avais pas à s’en faire pour un éventuel découvert ,son compte était bien rempli.

 

A ces mots elle se releva et ferma mes rideaux, je continuais mon blabla en ne comprenant pas bien ce qu’elle faisait, en plus de ça elle ferme ma porte à clef, pour qui elle se prend, elle s’approcha de moi, et me pris le dossier des mains, pour le balancer par terre, et s’assis sur mes genoux.

Elle me dit :

 

-toi dans ta vie je sais que tu es un homme malheureux, laisse toi faire, ton bonheur est proche petit compteur de sorue…

 

Je ne compris pas ses mots, mais son intention était très claire, elle mit sa main sur mon sexe tout durci à travers le pantalon puis m’embrassa tendrement. Sa langue débarbouillait mon visage tandis que sa main écartait ma chemise Gucci, et elle me lécha le torse. Que de bonheur ses mains fines son corps aquilin que de beauté dans ce moment magique, soudain sa bouche descendit ma braguette, et avec une incroyable habilité elle réussit à descendre mon caleçon et engloutir mon sexe d’un seul coup, pour le mettre au plus profond de sa gorge, quelque chose de magique se produit, elle jouissait, je ne sais pas si elle simulait ou si elle y prenait vraiment du plaisir mais je me rappelais de cette nuit ce son souffle cette chaleur exactement la même sensation, c’est fout, ai-je des dons de divination ? pour l’instant je m’en fous, sa bouche me donne trop de plaisir, elle savait aspirer avec une précision mortelle, elle lécha le tour de mon gland, puis retourna en une gorge profonde, et cela pendant plusieurs minutes, jamais l’excitation n’avait été aussi bonne de toute ma vie, la folie m’emporta, je lui pris la tête avec mes deux mains et enfonça mon pieu encore plus dans sa gorge, mais revenant à mes esprits je m’en excusa de suite, surtout qu’elle toussait après ça, elle me dis alors qu’elle adorais être soumise, que c’était ce qui la faisait jouir, qu’elle n’avait trouvé aucun homme dominant encore.

Elle me remit le sexe dans mon pantalon, et me demanda mon numéro, je lui donne, en l’embrasse tendrement avant qu’elle ne parte.

 

Wow la journée commence bien, mais reprenant vraiment conscience, ma lucidité me dis qu’elle ne me rappellera pas…et c’est bien dommage jamais je n’ai eu autant de plaisir. La suite de la journée fut pareil, monotone et chiante à en crever, toujours les mêmes choses des mêmes bourges, et toujours leur conneries, j’en ai marre de les entendre parler de fric sans arrêt.

 

Je pus rentrer finalement chez moi, épuisé, je m’allongeais direct sur le lit et me plongeait dans ma télé. Quand tout à coup le téléphone sonna.

 

-allo ?

-bonsoir mon petit compteur de sorue

-madame place ???

-mademoiselle

-pardon

-puis-je venir vous voir ?

-avec plaisir mais il faut que je vous donne mon adr…

 

La porte sonna. Je pris l’interphone :

-oui

-ouvrez j’ai froid dehors

 

Je vous ouvre avec plaisir, la porte s’ouvrit et j’attendis qu’elle monte les plusieurs étages, arrivée en haut, elle me sauta dans les bras elle était vêtu très sexy, gothique, mais sexy à souhait, à un détail près de la matinée, elle était pieds nus dans ses escarpins, on pouvait voir ses pieds si magique, que je rêvais déjà d’embrasser. Je la fis entrer, après lui avoir proposé à boire, elle me plaqua sur le lit, puis se retourna, en me disant, fais sur moi tous tes fantasmes.

Je ne compris pas ce qu’il se passait, mais je n’ai pas hésité pourtant, je commençais par lui ôter ses vêtement, le corset, qui délivrait une poitrine comme jamais je n’en avais vu, des tétons rose déjà durcis, mais d’une douceur que je n’avais constaté sur aucune femme avant, je commençais par les lécher, les prendre dans ma bouche les mordiller, cela provoqua chez elle comme une sorte de mini orgasme, sa réaction m’avais tellement plus que je décida, de l’allonger, et lui retirer ses chaussures tout en continuant. Avec ma main je caressais entièrement sa poitrine, puis de l’autre je chatouillais délicatement ses petits pieds mutins, qui étaient à la perfection bien manucuré et avec un vernis violet qui donnait le pied le plus sexy du monde à cette femme dont je tombais vraiment amoureux. Mon désir fut tellement fort que je lâchai son téton pour m’occuper de ses pieds, elle adorait être chatouillée, être soumise complètement, quand ma langue chatouillais sa plante, elle eu quelques réactions mais je lui ordonnais de ne pas bouger, ce qui fut un réel supplice pour elle mais si bon en même temps, je suçais son gros orteil, point faible de cette adorable créature. Elle me supplia d’arrêter, mais je n’en avais aucune intention, je continuais mon jeu mais j’ajoutais les doigts elle, n’en pouvais plus et bougea. Pour la punir je décidai donc de l’installer en levrette, j’allais chercher une règle en bois et lui frappa sur les fesses environ 150 fois. Son plaisir était décuplé, elle en voulait encore et encore, mais ce jeu ne m’amusait plus, je voulais avoir son sexe ma langue, ne demandais que cela, alors je la mis sur le dos, lui écarta ses jambe, et ohhhhhhhhh vision de bonheur !!!! Elle était percée au clitoris, que ne fut mon bonheur de pouvoir jouer avec ce petit anneau qui pendouillait, que je pouvais mordiller, lécher, je senti son orgasme venir, alors ma rage sur son clitoris se déchaîna, et avec un cri qui pouvait à peine sortir de sa gorge, elle se tortilla dans tous les sens, et me dis que jamais elle ne put connaître un plaisir pareil avec un autre homme. Nous fîmes l’amour pendant des heures, je n’arrivais pas a croire ce qui se passait là, la plus belle femme de la terre, me faisait l’amour sauvagement, son sexe était doux à l’intérieur, j’aimais y rentrer et y ressortir, j’aimais son petit cri aigue quand je la pénétrai ardûment, elle me dis d’un coup sèchement : -je sais quel est ton fantasme vas y fais le

A ce mots je ne comprenais pas vraiment mais elle se mit en levrette et je compris ce qu’elle voulu, la sodomie, effectivement j’adore ça, mais je n’ai jamais eu l’occasion d’essayer.

Je pris mon courage à deux mains et pénétrai son petit anus très serré, bizarrement elle ne parut pas avoir mal, mais plutôt au contraire en avoir un plaisir monstrueux, et plus j’y allais plus elle en voulait, de plus en plus fort, elle me rappela, que tout m’était permis, alors jusqu’au point d’avoir mon orgasme je la pénétrai de plus belle, entre son anus et son sexe gonflé et humidifié par tant de plaisir, elle eu 3 orgasme avant le mien, et comme si elle savait déjà ce que je voulais, elle senti venir le bon moment se retourna brusquement, me pompais littéralement mon sexe durci avec des veines sur gonflées, et avala toute ma semence, elle me dis que le gout ne la gênait pas, que ca lui faisait plaisir d’être une vraie soumise jusqu’au bout. Mon cœur avait trop fait d’effort pour une soirée, je ne pus résister de l’embrasser une dernière fois avant de m’endormir dans un sommeil profond. Pourtant à peine endormi je me réveillais déjà plein de courbature, mais si bien !!! je la cherchais partout, mais impossible de la retrouver, elle n’était pas là…au début je cru à une blague…puis je compris…Ce n’était qu’un rêve, un beau rêve qui s’en est achevé…évidemment tu es con me disais-je !!!! pourquoi la plus belle femme du monde et la fille de tes fantasmes voudrait de toi !!! bref je m’avançait vers mon lit et je vis écrit :

 

Mercredi 28 novembre 9h

 

Oh putain c’est pas vrai !!!! je vais être encore plus en retard que dans mon rêve, aller vite à la douche !!! une fois fini je m’avançais pour me brosser les dents ne pouvant m’empêcher de penser à cette sublime nuit…Enfin ce sublime rêve, puis me rhabillant, je ne pus penser qu’à ce moment ou j’éjaculais dans sa bouche et sur son visage, fantasme que peu de femmes pratique…ralalalalla si seulement je pouvais le réaliser un jour, aller je me casse.

 

Passant par la cuisine je vis une feuille de papier et un billet de 100euros, sur le papier était écrit : « merci pour tout mon petit compteur de sorue, ce fut la plus belle nuit de ma vie »

 

Rêve ou réalité ?

Par cryptograph
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